Arnaud TIERCELIN
TRAMAIN (Côtes d’Armor) -
Un petit châssis de la deuxième moitié du XVIIe siècle. On notera particulièrement la modestie de ses compartiments vitrés.
Nos remerciements à M. et Mme Perrault, propriétaires du logis, et à M. Bruno Bethencourt pour l’indication de ce témoin.
ST-
Une petite croisée du premier quart du XVIIIe siècle. Elle présente la particularité de conserver des volets de bois en partie basse.
Nos remerciements au propriétaire du logis et à M. Martin Mallard, architecte, pour l’indication de ce témoin.
CHAMPIGNE (Maine-
Une croisée classique du premier quart du XVIIIe siècle.
Nos remerciements à M. Marc de Charnacé, propriétaire du manoir.
CHAMPIGNE (Maine-
Une exceptionnelle croisée du milieu du XVIe siècle étudiée par les Compagnons du Devoir et le Centre de recherches sur les monuments historiques. Nous en faisons ici une nouvelle analyse et complétons les relevés.
Nos remerciements à M. Marc de Charnacé, propriétaire du manoir.
Fiche n°6 -
La technique du recouvrement des bâtis apparaît durant le premier quart du XVIe siècle. Les organes de rotation disponibles à cette époque étant limités aux pentures à charnière conçues pour ferrer des bâtis affleurés au même nu, une adaptation des organes de rotation était nécessaire. C'est donc les problèmes posés aux serruriers pour mettre au point cette nouvelle technique qui sont étudiés.
Région de DOZULE (Calvados) -
Un bel exemple de vantail à petits-
Nos remerciements à M. Gérard Gaugain pour l’indication de ce témoin.
HOTOT-
Deux châssis provenant d’une demi-
Nos remerciements à M. Boidot, propriétaire du manoir, et à M. Gérard Gaugain, menuisier à la retraite, pour l’indication de ce témoin.
MONCEAUX-
Un bel exemple du début du XVIIIe siècle à découvrir pour la façon de raccorder ses petits-
Nos remerciements à M. Philippe Siguret, propriétaire du manoir.
BERRIE (Vienne) -
Seuls subsistent les châssis du haut. Datables de 1540, ils permettent d’étudier un exemple intéressant de ferrage des bâtis à recouvrement.
Nos remerciements à M. Pascal Lapôtre, propriétaire du manoir.
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